mode d'emploi

Presqu'île de Crozon

La chambre d'hôte est proche de la plage de Trez Rouz ; depuis la terrasse, la vue embrasse l'anse de Camaret et plus largement la Mer d'Iroise. La maison de Paulette Rousseau est construite à l'instar de la proue d'un navire. Filou, le perroquet, demeure dans la véranda du rez-de-chaussée. Filou, le bien-nommé gris du Gabon Paulette a décoré toute sa vaisselle Le 16 juin 1694 a lieu sur la plage du Trez Rouz (dite la sanglante) une bataille opposant français et anglo-hollandais. 10000 hommes y débarquent mais sont refoulés pendant que la marée monte... On déplorera 800 morts du côté des envahisseurs et 45 parmi les français. La pointe Ste Barbe rebaptisée mort anglaise… La caverne, extrémité de la pointe précédente Demeure, le long du sentier des douaniers La plage de Notinau avec le choix des galets ou du sable Les rochers de la Pointe du Pouldu Le Pouldu est une véritable mine géologique. Il est surplombé par un fort dans lequel furent internés les insurgés de la Commune ainsi que 90 responsables du soulèvement kabyle en 1871. Chemin creux à Pen ar Créac'h Manoir du même village La baie de Roscanvel et les îles des Morts et Trébéron. Ces dernières furent des poudrières ou encore des lazarets. Cohabitation bretonne Carte d'Etat Major dessinée au milieu du 19ème siècle Premiers rayons solaires sur Camaret Le quai Gustave Toudouze L'ensemble des quais. Ne pas manquer la halte gourmande à la crèperie des Embruns. Le port du Notic et le quai éponyme Le sillon et la chapelle N.D. de Rocamadour. Son clocher fut décapité par un boulet anglo-hollandais lors de la bataille de Trez-Rouz. La chapelle ne doit pas son nom du fait d'un pèlerinage à Rocamadour, mais simplement parce qu'elle est construite sur un roc (du celte Roc'h = rocher, am a= au milieu, et Dour = eau, soit le « rocher au milieu des eaux »). Des ex-voto en forme de bateaux sont suspendus dans la chapelle. Statuette en bois Autel latéral du XVIIe Cimetière de langoustiers près du sillon En 1905, se déclenche la crise sardinière. Les marins se reconvertissent alors dans la pêche à la langouste. Les anciens bateaux sont remplacés par un nouveau type, le dundee d'Espagne. Les Camarétois entrent dans la grande épopée de la langouste. Ils partent pêcher en Espagne, au Portugal, en Irlande, au Maroc et en Mauritanie. Plan d'un langoustier construit à Camaret La tour et la rampe de lancement des nouvelles embarcations La plage du Corréjou et ses rides de vague face à l'entrée du Goulet de Brest L'anse de Camaret au crépuscule, on devine les parcs à moules. Vue des quais Vue générale prise de Kermeur Le quai Gustave Toudouze Les langoustiers dans le port Vue sur le sillon, le château et la chapelle Camaret et ses langoustiers Vue de l'estacade du Stivel L'entrée du port Vieux loups de mer En attendant le retour des bateaux de pêche… La plage de Veryhac'h Le moulin Pêle-mêle Alignement de Lagatjar. En 1776, on dénombrait environ 600 menhirs. Vue sur le chenal du Toulinguet Roches remarquables par leur empilement Le bateau-croisière donne d'autres points de vue sur les paysages (cf. la balade en mer d'Iroise). On distingue au fond l'anse de Pen Hat et la pointe du Toulinguet avec ses grottes. L'une d'elles abrita un ermite au IVème siècle. Croix de Loraine en granit bleu inaugurée par De Gaulle en 1951. Au dos de la croix se trouve une inscription en breton. « Kentoc'h mervel eget em zaotra », reprise de la devise bretonne, « plutôt la mort que la souillure ». La pointe de la Tavelle Le G.R. 34 mène à la plage de Veryac'h Goéland dominant les anses de Pen Hir et, plus loin, de Dinan Je suis intéressé(e) par vos déchets ! Vue depuis la Salle Verte La pointe et les Tas de Pois (jadis appelés tas de foin) même point de vue plus agité en 1932 Blason de Crozon. Armand Peugeot est passé par là… Les limites de la commune de Crozon. Paulette Rousseau habite à Crozon ! Le port de plaisance de Morgat, commune de Crozon. On distingue au loin la pointe des Grottes. Autre point de vue, la grande plage de Morgat se dessine en arrière-plan. La pointe de St Hernot et l'île Vierge Le rivage au nord de la précédente pointe Surplomb de l'île Vierge, récemment envahie et abîmée par les touristes ; elle est désormais interdite d'accès. St jeantaise en plein effort La Grande Roche au premier plan, puis, en second, la Pointe de Morgat L'île Vierge vue du sud de la presqu'île de Crozon Une photo s'impose ? Vers la pointe de Rostudel Ultime cliché de ce lieu paradisiaque Encore un effort… Jolie barrière dans le village de Rostudel Habitat breton, évidemment La chapelle de St Hernot. L'accès à son clocher se fait par l'escalier apparent. Crozon : Les orgues de l'église St Pierre conçues et réalisées par le facteur d’orgue anglais Robert Dallam au XVIIe siècle. Magnifique retable en bois sculpté et doré, dit des mille martyrs. l'oeuvre retrace la crucifixion sur le mont Ararat (en Arménie) des soldats de la région thébéenne qui eut lieu en l'an 120. Un détail du retable L'un des vitraux de l'église St Pierre représentant la cène Vitrail de Marie-Jo Guével La pêche miraculeuse... Vue générale de la plage de Morgat et du bourg de Crozon L'église St Pierre La rue de Morgat dans le bourg de Crozon Voitures automobiles diverses de Morgat et Camaret attendant les touristes arrivant par les vapeurs brestois Pas de minute à perdre en 1918 Jeune fille avec la coiffe des grandes fêtes Type de vieillard de la presqu'île (dixit la carte postale !) La plage et les hôtels de Morgat Panoramique de Crozon avec, au centre, la pointe des Grottes Morgat en Crozon Le Rocher des Petites Grottes et l'Hôtel de la Mer La plage vue du port à marée basse Retour de visite de grottes Un coin du port de Morgat Le port de Morgat à marée haute Sur les landes de Crozon-Morgat Les derniers apprêts de la toilette Morgat : vue prise de la route de Crozon La meunière et son moulin La pointe du Toulinguet surmontée du sémaphore et des fortifications de Vauban En pleine mer d'Iroise, le rocher du Lion Les Tas de Pois (six Dahouets) nommés : le Grand Dahouët tenant de la terre, Petit Dahouet, Penn-Glaz (tête verte), Chelott, Ar Forc'h (la Fourche) et Bern-Id (Tas de blé) Contournement du Petit Dahouet Bain de Soleil pour cormorans sur un Dahouet La pointe de Pen Hir vue du sud Les Dahouets vus de l'est Les hydroxydes ferriques aux teintes rouille et ocre-jaune donnent une curiosité naturelle à marée basse. Panoramique sur les pointes du Grand Gouin et du Toulinguet Les Tas de Pois et la pointe de Pen Hir sont bien visibles ; on devine à peine au loin une île du Ponant : Molène. Un percepteur écrivait en 1830 : « Tout ici est frappé de désolation : une terre ingrate, dépourvue de verdure, battue par tous les vents, des rochers à vos pieds, des rochers surgissant du sol, et, devant vous un horizon sans borne, une mer sans limite, l'océan. (...) Le château de Dînant est un rocher bizarrement découpé, qui surgit au sein des eaux, à l'une des extrémités de la baie. Il est joint à la terre ferme par un autre rocher percé, formant une voûte, un pont naturel de cinquante pieds au moins d'élévation au-dessus de la grève. Sous cette voûte se trouvent des grottes profondes, minées par les eux de la mer. » Le château de Dinan et son pont levis… Vue en direction du cap de la Chèvre On peut effectivement passer sur le « pont » pour se rendre dans le « château » L'abbaye de Daoulas fut fondée au XIIe siècle. Elle surplombe la ville de Daoulas autrefois port stratégique entre le Léon et  la Cornouaille. Sur le cliché, nous voyons le jardin des arbres médicinaux aménagé en 2015 et qui réunit 350 espèces venues de toute la planète. Une œuvre d'art à l'entrée de l'abbaye, elle représente un tronc d'arbre, mais il s'agit d'un morceau d'oléoduc finement découpé en de multiples morceaux, lesquels ont ensuite été assemblés. Oratoire du XVIe siècle. Il abrite différentes statues. Fontaine réputée miraculeuse pour soigner les yeux Le jardin des plantes médicinales, créé en 1990. Les terrasses accueillent les plantes des pharmacopées d'Europe occidentales, d'Océanie, d'Amérique et d'Asie. Le cloître de style roman édifié au XIIe siècle et détruit partiellement à la Révolution. Statuette à l'entrée du cloître Exposition temporaire à l'abbaye. La Torah est composée de cinq livres désignés en hébreu par un des premiers mots du texte et traditionnellement en français : la Genèse (Bereshi? : Au Commencement), l'Exode (Shemo? : Noms), le Lévitique (Vayyiqra : Et il appela), les Nombres (Bami?bar : Dans le désert) et le Deutéronome (Devarim : Paroles). Les clichés ci-après font partie de l'exposition dont le titre est : AMOUR, récits d'Orient et d'Occident. Elle vise à montrer comment, entre les monde chrétien et musulman, nos manières d'aimer se sont façonnées, influencées et parfois contredites. La céramique ci-dessus (datant du Ve siècle av J.C.) montre un homme et un jeune garçon. De Nasser Ellefi, Adam et Eve (Tunisie 2000). En Islam également, Adam et Eve restent le couple originel. Mais leur chute diffère : ce n'est pas Eve qui faute, mais le diable Iblis qui les incite à manger le fruit défendu. Un catéchisme illustré. Remarquez l'attitude des personnages près de la porte de l'Enfer. Amour oriental Samson et Dalila par J.D. Court (1821). Œuvre prêtée par le musée de l'Ecole Nationale des Beaux Arts de Paris. Le harem Like Evryday par Shadi Ghadirian (Téhéran) - L'artiste détourne avec humour les codes liés à l'univers féminin dans un univers patriarcal. La dame à l'orgue - tapisserie du début du XVIe siècle de la cathédrale d'Angers. L'amour courtois nous est à la fois loin et proche. Il réhabilite l'amour et le désir comme valeurs propres à l'aristocratie face aux enseignements du clergé qui ne conçoit que l'amour divin. Mais il est proche par l'accomplissement d'exploits pour conquérir le cœur d'une belle. Le calvaire de Plougastel-Daoulas. Remarquer l'escalier à gauche, il permettait d'accéder à une plate-forme centrale où s'installait le prédicateur. 182 statues sont sculptées en pierre de Kersanton de couleur bleue ; les plus grandes mesurent un mètre et pèsent entre 100 et 200 kg. Elles illustrent des scènes bibliques ou légendaires à l'instar du personnage breton Katel Kollet Le calvaire est un ex-voto traduisant la fin de l'épidémie de peste en 1598 qui avait décimé un tiers de la population de la presqu'île. Le seigneur de kererault serait mort le 27 septembre 1598 en faisant le vœu qu'un calvaire soit édifié s'il était le dernier mort de l'épidémie. Ancienne carte postale montrant le calvaire et l'église de Plougastel en 1922. l'église fut détruite en 1944. et le calvaire fortement endommagé. Cliché pris lors d'un pardon L'Aulne, fleuve côtier, près de son embouchure à Landevennec Le cingle de l'Aulne et le cimetière de navires de la marine L'art de la crêpe : thème d'une exposition temporaire de l'abbaye de Landévennec Exposition permanente : Sainte Gwenn, mère de St Guénolé (fondateur de l'abbaye) et de deux autres garçons. Elle était dite aux trois mamelles car avait trois seins. Chapiteaux de l'ancienne abbaye du XIe siècle Maquettes de l'abbaye ; à gauche : celle du XIe siècle et à droite : celle du XVIe Vêtement d'un moine du haut Moyen Age. « ...jamais il ne se vêtit de laine ou de lin, mais il se couvrait de peau de chèvre » témoignage de Gurdiatan (vers 870) dans sa Vie de St Guénolé. Ce texte est écrit plus de 300 ans après la fondation du monastère. Grégoire de Tours (Ve siècle) s'étonne de cette pratique vestimentaire qu'il considère comme une manifestation excessive de la pauvreté. Les clichés du haut illustrent la règle de St Benoît - Au centre figurent les différentes activités des moines - Les différentes cérémonies religieuses sont photographiés en dernière ligne. Le jardin des simples rassemble une collection de plantes représentatives des jardins monastiques à l'époque de Charlemagne. Le porche d'entrée de l'abbatiale les ruines du chœur Le monastère fut détruit par les Vikings en 913, puis reconstruit plusieurs fois pour disparaître à la Révolution. Il renaît en 1950 près du lieu originel. Landevénnec est un village fleuri. Rivière du Faou - L'îlot et la poudrière d'Arun - Vue générale de Landévennec Le pont à haubans de Térenez